Voilà. C’est fait.

La 36985745ème Marie de la Blogaux.

En Liberty Boxford qui plus est. Celui-là, si on me l’avait montré l’an dernier je l’aurais évidemment trouvé atroce, infect, pas beau, too much.

Mais là, maintenant, en 2012, j’ai décidé qu’il m’en fallait absolument un petit morceau de cinquante centimètres [en application du DOLB, droit opposable à 50 cm de Liberty Boxford].  

Marchegg & Marie Boxford (1)

Marchegg & Marie Boxford (2)

Pour aller avec (ou pas, car je pense qu’ils seront plutôt portés séparément), un short Marchegg.

Je ne voulais pas coudre ce short. Il n’était même pas sur ma liste. Je l’ai fabriqué un soir de désespoir, entre deux ouvrages, completely lost in my to-do list. 

Bon, maintenant qu’il est là, on l’aime bien et d’ailleurs, et j’ai déjà envie d’en coudre d’autres. 

Incroyablement facile à réaliser, mêmes les poches rondes se sont mystérieusement arrondies d’elles-mêmes, sans effort de ma part. Si j’osais je crierais un tonitruant “Merci Soeur Almaaaaaaa!!!”.

Photos des vêtements portés, Louise en est assez satisfaite, le zaune des fleurs de la tunique n’est pas pour lui déplaire:

 Marchegg & Marie Boxford (4)

Marchegg & Marie Boxford (5)

Marchegg & Marie Boxford (6)

Un ensemble confortable pour fillette au four et au moulin:

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Fiche technique

Marie de Citronille, taille 4 ans, légèrement rallongée, biais et fente indéchirable d’encolure remplacés par une coulisse élastiquée (un biais acheté tout fait dans le même liberty). 

Pour résumer, une Marie de fainéante, idéale pour la couture nocturne).

Marchegg de C’est Dimanche, taille 4 ans (taille large), en drap rose de brocante (je repousse les limites du développement-durable, une fois d’ailleurs j’ai même cousu des chutes). Une pensée pour ce pauvre brocanteur qui voulait me vendre des taies d’oreiller.

Vêtements élastiqués au col et à la taille pour une papa-compatibilité optimale (dommage qu’il n’aime pas le liberty Boxford).